Près de cinq mois après la mort de l’éternel numéro 10 de l’Argentine, le football est toujours en deuil et pleure la disparition de l’un de ses plus grands génies. Alors que de nombreux hommages ont déjà été fait par des marques, c’est Le Coq Sportif qui dévoile aujourd’hui le sien avec une collection textile inédite qui reprend bien sûr les codes de l’iconique maillot de l’Albiceleste de 1986. Un maillot iconique dans la géante carrière d’El Pibe de Oro.
Dans sa grande histoire de partenaire et d’équipementier du football, l’héritage laissé avec la sélection argentine reste une partie importante de l’histoire du Coq Sportif. Championne du Monde en 1986, l’Argentine était en effet sous contrat avec la marque française entre 1980 et 1989. Durant cette période, le moment marquant a bien évidemment été la Coupe du Monde et à tout jamais, l’équipementier restera associé au maillot utilisé par Maradona lorsqu’il a inscrit ses deux buts de Diego Maradona lors du match face à l’Angleterre (La main de Dieu et un slalom de 50m). C’est justement pour rendre hommage à cette période faste que la marque tricolore dévoile une collection spéciale aux couleurs de l’argentine et frappée du numéro 10 de Maradona.
Si l’on pouvait s’attendre à la réédition du maillot de l’époque, Le Coq Sportif a choisi une toute autre direction. Bien sûr, on retrouve les bandes verticales teintées de bleu ciel et de blanc, mais elles ne sont en revanche pas accompagnée par le blason de l’Argentine ni même par le logo du Coq Sportif de l’époque. Bien plus qu’un simple maillot, les produits dévoilés sont des pièces inspirées de l’époque et dans le but de faire honneur à cette période faste. Au travers de trois pièces différentes (un maillot, un sweat, un pantalon), Le Coq Sportif redonne vie à ces couleurs et se permet même d’utiliser ses différents ambassadeurs comme Tony Yoka pour mettre en avant la collection. Pour porter ces tenues, il faudra en revanche débourser 95€ pour le maillot, 125€ pour le sweat et 129€ pour le maillot.
1 commentaire
David
Publié le 18 mars 2021 à 19 h 58 min
Très bel article Thomas !