À quelques heures d’affronter le PSG et sa colonie de stars, le Stade Brestois continue de se battre pour sa survie en Ligue 1. Pour cela, il peut s’appuyer sur un joueur expérimenté en la personne de Pierre Lees-Melou.
« Je n’ai pas pu jouer longtemps avec car mes pieds ont grandi mais je les ai toujours dans une vitrine chez moi ! »
Ancien joueur de Dijon, Nice ou encore Norwich City, PLM s’est imposé partout où il est passé. Mais dans le cadre d’un entretien pour Ligue1.fr, le joueur sous contrat avec PUMA s’est livré sur quelques souvenirs et sur quelques pépites soigneusement rangées dans ses archives.
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Formé du côté des Girondins de Bordeaux, Pierre Lees-Melou a notamment cotoyé un joueur comme Jordan Galtier (fils de Christophe) durant cette période.
Alors à l’OL en tant qu’adjoint d’Alain Perrin, l’actuel coach du PSG avait ainsi pu récupérer une paire de Predator Absolute d’un certain Juninho et qui se sont retrouvées dans les mains de PLM ! « Un jour, Jordan me demande ma pointure et, quand je lui réponds que je fais du 41, il me dit qu’il a un cadeau pour moi. C’était une paire de chaussures à crampons portée par Juninho. « Galette » les avait eues parce que son père Christophe était entraîneur adjoint à l’OL à l’époque. Malheureusement, je n’ai pas pu jouer longtemps avec car mes pieds ont grandi mais je les ai toujours dans une vitrine chez moi ! Ce sont des Adidas Predator blanches avec l’élastique qui va sous la semelle pour plaquer la languette. Elles sont personnalisées avec un drapeau du Brésil sur le talon et les prénoms de ses trois filles brodées sur la languette. » explique le joueur de Brest.
Désormais dans la sphère professionnelle, Pierre Lees-Melou a connu différents clubs et notamment une aventure outre-Manche qui lui a donné l’occasion de récupérer quelques maillots que tout bon collectionneur se verrait bien ranger dans son dressing. « ceux de Virgil van Dijk, Sadio Mané, Riyad Mahrez, N’Golo Kanté… Quelques jolis noms ! » peut-on apprendre dans cette interview.
Les débuts d’une belle collection mais qui n’est pas un objectif pour l’ancien niçois. « Je n’aime pas trop demander les maillots. Quand j’étais jeune pro, j’essayais parfois d’échanger mon maillot mais je suis devenu plus timide par la suite. Peut-être par peur de me prendre un refus ! Maintenant, je m’en fiche, et la plupart du temps, je n’échange mon maillot qu’avec des potes ou d’anciens coéquipiers. »
De quoi malgré tout nous donner envie de venir découvrir la collection !
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