Avec l’intelligence artificielle, les possibilités sont quasi infinies. Cet outil permet de développer en quelques secondes des créations auxquelles le cerveau humain n’aurait peut-être jamais pensé. Il permet de gagner du temps sur les créations. Le compte Instagram de la Ligue 1 a décidé de s’amuser en recréant, à l’aide de l’IA, les 18 stades des clubs de Ligue 1.
Les 18 stades de Ligue 1 selon l’IA
En se basant sur les logos des clubs, l’architecture de la ville ou des monuments historiques, le personnel de communication de la Ligue s’est amusé à recréer les stades des clubs de l’élite. Les créations sont surprenantes. Le nouveau stade du PSG, possible future alternative au Parc des Princes, comprend dans son architecture une Tour Eiffel en taille réduite. De quoi donner des idées aux propriétaires du club ? Pourquoi pas. Celui de Nice rappelle un peu celui de Bursaspor, avec l’aigle qui déploie ses ailes autour du stade. Celui du club turc, qui existe vraiment – aussi dingue que ça puisse paraître – est un crocodile qui fait le tour des tribunes. À Lille, la tête du Dogue, symbole du club dépasse du toit du stade, à la manière d’un panneau « chien dangereux » devant les portes des maisons. Pour se rendre à Monaco, il ne faudra pas avoir le vertige pour jouer tout en haut du Rocher.
Le stade de Brest version IA a des allures d’attraction autour du monde des pirates. Celui de Reims reprend l’architecture de la cathédrale, construite à partir de 1211. À Marseille, exit le Vélodrome, place à la Bonne Mère pour protéger les joueurs Marseillais. Toulouse prend des airs de Bologne avec son stade d’une architecture singulière.
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Du côté de Nantes, le stade reprend le côté loufoque des Machines présentes sur l’île. Le stade du Havre, au niveau du port, est situé sur un polder au milieu de l’eau et des grues du port. Attention à ne pas envoyer les ballons directement à l’eau. À Lyon, la tête du lion en virage, sculptée s’il vous plaît, renvoie à l’architecture grecque. Pour ce qui est de Lens, le stade s’inspire des mines de charbon de la région.
Les stades de Metz et de Rennes en imposent. Le premier avec un Graoully à trois têtes et le second avec deux hermines qui se font face rendent la structure imposante. Le stade de Strasbourg à l’air d’un stand du marché de Noël, tandis que celui de Montpellier est plus classique.
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Difficile de comprendre celui de Lorient, qui abritera en tout cas les supporters du vent et de la pluie. Celui de Clermont apparaît comme une bonne alternative au stade Gabriel-Montpied, actuellement en construction.
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