Spécialiste des chaussures de foot de luxe en cuir, l’équipementier italien Pantofola d’Oro lance un nouveau silo qui se distingue par sa légèreté : la Superleggera.
Pantofola d’Oro a beau faire des chaussures de foot de luxe, son adaptation aux codes actuels du marché reste une nécessité pour exister. Après des coloris et des technologies audacieuses avec la « Python » ou les collections x GazzettaDelloSport, Pantofola nous propose un tout nouveau silo qui n’a rien à envier à ses concurrents directs : la Superleggera. Comme son nom l’indique, ce nouveau silo se distingue principalement par sa légèreté. Sur la balance, la Superleggera, qui est évidemment dotée d’une tige en cuir de kangourou premium, affiche un poids de 180g. Ce qui est équivalent à la chaussure en cuir de kangourou la plus légère du marché : la Mizuno Morelia Neo II.
Pour réussir le pari de la légèreté, Pantofola d’Oro n’a pas hésité à sortir de sa zone de confort en proposant un cuir de kangourou plus fin et plus souple que par le passé. Conçue en Italie, à Ascoli, la Superleggera utilise une semelle dotée d’un matériau Pebax®, que vous connaissez maintenant par cœur. L’avantage c’est que ce matériau a permis de rendre cette semelle encore plus souple et plus légère.
Du côté des nouveautés, on peut noter que les coutures (ou surpiqûres) à l’avant sont moins nombreuses que sur les précédentes paires de la marque tandis que la languette fine a été perforée. Par contre, on retrouve les fondamentaux de Pantofola d’Oro avec une tige entièrement noire mais aussi une fine bande qui reprend les couleurs du drapeau italien sur le cou-de-pied et le talon ainsi que les trois étoiles dorées de la marque qui sont cousues à la main. Des crampons dorés et blancs complètent la paire.
Élégante et moderne, la Superleggera est très prometteuse sur le papier. La paire est d’ailleurs déjà disponible chez certains distributeurs comme ProDirectSoccer.
Il nous tarde de découvrir et de tester la Superleggera sur le terrain. Et vous ?
Photos : SoccerBible
1 commentaire
Olive
Publié le 22 décembre 2017 à 15 h 03 min
Le problème c’est le look : les petites ėtoiles dorées et le drapeau italien , on est dans la nostalgie de la coupe du monde 82